Mathilde CHÉNIN

Octobre 2024. Après la dissolution de l’Assemblée Nationale, les élections sont venues, les élections sont passées, laissant derrière elles des communes clivées, des voisinages affectées, un être-ensemble en sursis. Pendant que le business as usual reprend son cours dans les couloirs de Matignon, qu’en est-il de la possibilité de composer le commun au sein de ces espaces fissurés et que peuvent bien faire les artistes dans tout cela ? Mettant en regard deux trajectoires différentes, celle d’une œuvre et celle d’un lieu de vie et de travail artistique installé en territoire, le texte, publié sur le site d’AOC est l’occasion de prolonger ma réflexion sur les enjeux et les possibilités d’un commun par l’usage à l’aune du contexte politique français actuel.